La mythologie grecque, c'est l'arrière-grand-père de TikTok, un cocktail fascinant de figures mythiques et d'aventures, imprégnant notre culture et notre quotidien, encore et toujours.

Table des matières

Ah, la mythologie grecque ! Imaginez une série à l’ancienne, où les dieux et déesses sont les vedettes, et le Mont Olympe, leur plateau de tournage. Ici, on ne se contente pas de simples querelles de voisinage ; on parle de trahisons cosmiques, de flirts interdits et d’héroïques péripéties.

C’est un peu comme les séries télé d’aujourd’hui, mais avec plus de foudre et moins de technologie. Tout commence avec la civilisation mycénienne, qui lance le pilote de cette saga épique. Et ça continue de plus belle jusqu’à ce que les Romains reprennent le script pour en faire leur propre version.

Parmi les best-sellers de l’époque, on trouve L’Iliade et L’Odyssée d’Homère, des épopées qui feraient pâlir de jalousie les plus grands blockbusters hollywoodiens. Et n’oublions pas Hésiode avec sa Théogonie, une sorte de guide Michelin des dieux, pour ceux qui auraient du mal à suivre le fil de ces aventures divines.

En bref, la mythologie grecque, c’est un mélange du Seigneur des Anneaux, de Desperate Housewives et de National Geographic, le tout enveloppé dans une toge et servi avec une pincée d’ambroisie.

Une image représentant les dieux et les déesses de la mythologie grecque en plein tournage.
Une image illustrant la mythologie grecque avec des icônes modernes.

Comment les récits épiques ont modifié la communication et la perception ?

On peut voir la mythologie grecque comme le grand WhatsApp de famille de la Grèce antique. Toutefois, oubliez les prières écrites et toutes les règles strictes. Les Grecs se partageaient des histoires croustillantes sur leurs dieux et leurs héros comme on partage des memes et des GIFs aujourd’hui. Avec ces arbres généalogiques compliqués, les récits feraient passer ceux de « Game of Thrones » pour un jeu d’enfant.

Comme les recettes de la moussaka, les histoires variaient d’une ville à l’autre. Un dieu pouvait être un super-héros à Athènes et avoir des problèmes de couple à Sparte. Cette approche « à la carte«  de la religion était cruciale pour comprendre le monde selon les Grecs : un peu comme si notre compréhension de l’univers dépendait des séries Netflix que l’on choisit de regarder, ou pas. La mythologie grecque, c’est une série de fils Twitter qui s’entrecroisent pour former une tapestry épique et un peu chaotique de l’existence.

Ah, ces Grecs, le moins que l’on puisse dire, c’est qu’ils étaient toujours prêts à innover, même dans la façon de vénérer leurs divinités !

Comment la mythologie grecque était-elle omniprésente dans la vie quotidienne ?

Voyez la mythologie grecque comme l’Internet de l’époque : partout, dans tout, tout le temps. C’est comme si chaque aspect de votre vie était sponsorisé par un dieu ou une déesse. Vous prenez un bain ? Merci à Poséidon pour l’eau. Vous réussissez un examen ? C’est grâce à Athéna. Vous ratez le même examen ? Eh bien, c’est la faute d’Hermès qui a dû vous distraire.

Ces dieux de la mythologie grecque étaient les stars de l’époque. Ils s’invitaient dans les discussions de comptoir comme dans les grandes décisions politiques. Besoin de comprendre pourquoi il pleut ? Zeus doit être en colère. Pourquoi les olives sont-elles si bonnes cette année ? Un high-five à Déméter. Ils étaient la réponse à tout, de la météo aux valeurs morales.

Artistes, écrivains, et penseurs de toutes les époques ont pompé les idées comme on binge-watch une série. Sculptures ? Inspirées des dieux. Poésie ? Héros et batailles épiques. Philosophie ? Que ferait Zeus ?

Les Grecs avaient créé le plus grand fandom de l’histoire, et on en est toujours fans des millénaires plus tard. 

Une fille et un garçon dans leur bain remerciant Poséidon sur leur téléphone.

Qui a créé les mythes grecs ?

L'évolution d'un projet collaboratif antique ?

Vous connaissez le « téléphone arabe » ? La mythologie grecque, c’est un peu ça, sauf que ça a duré plusieurs siècles. Qu’on se le dise, personne n’a vraiment décidé un beau jour :

« Tiens, et si je créais un monde avec des dieux qui lancent des éclairs et des demi-dieux avec des problèmes d’ego ?« . Non, il n’y a que Tolkien pour inventer un truc pareil. Voyez la mythologie grecque comme une collaboration épique à l’échelle de toute une civilisation, où chaque conteur rajoutait son grain de sel.

Chaque génération de Grecs se passait le flambeau des histoires, en rajoutant des détails ici et là. »Tu sais, ce serait cool si Zeus pouvait se transformer en cygne pour séduire Léda« 
« Et si on donnait à Hercule une douzaine de tâches impossibles, juste pour rire ?« .
On peut donc voir la mythologie grecque comme une série de fanfics avant l’heure, où tout le monde pouvait contribuer.

Le tout a vraiment commencé à prendre forme vers 1650 avant J.C., sur des tablettes de Linéaire B – le genre de trucs que vous ne trouveriez pas chez votre libraire local. C’était pas vraiment des best-sellers, plutôt des tweets en argile, avec des dieux Olympiens en guise de hashtags. Ainsi, au fil des ans, ces histoires ont évolué, se sont peaufinées, et ont fini par devenir le blockbuster que l’on connaît aujourd’hui. Un vrai travail d’équipe !

Pourquoi Hésiode et Homère sont-ils les piliers de l'étude universitaire de la mythologie grecque ?

Si la mythologie grecque était un cours à l’université, alors Hésiode et Homère seraient les manuels obligatoires – le genre de livres que vous achèteriez d’occasion et qui auraient des notes dans la marge comme « Zeus, encore toi ?! » ou « Ulysse, trouve-toi un GPS !« .

Avec La Théogonie, Hésiode, c’est un peu le père fondateur de la généalogie divine. Il a écrit au 7ème siècle avant J.C., à une époque où écrire sur la création des dieux était probablement aussi tendance que poster des vidéos sur TikTok aujourd’hui. Sa version des origines de l’univers est un peu comme un épisode de « L’Incroyable Famille Kardashian » mais avec des Titans et des dieux qui engloutissent leurs enfants.

Quant à Homère, avec L’Iliade et L’Odyssée, il a carrément écrit les premières épopées d’action-aventure. C’est grâce à lui que l’on sait tout sur les dieux qui chillent sur le mont Olympe et les héros qui font des aller-retours entre la maison et Troie. L’Iliade, c’est ce genre de film de guerre antique avec une touche divine, et L’Odyssée, c’est le road trip le plus long de l’histoire, avec monstres marins et sortilèges en bonus.

Sans ces deux auteurs, on aurait probablement beaucoup moins de matériel pour nos films, nos séries et nos jeux vidéos basés sur la mythologie grecque. Merci, messieurs, pour avoir été des blogueurs avant l’heure !

Antiquité et Drama : comment les héros légendaires préfigurent les séries modernes ?

Dans la mythologie grecque, vous avez tout :

  • des dieux et des déesses qui ressemblent à des mannequins de fitness avec un petit plus – genre lancer des éclairs ou changer de forme.
  • les Titans, les ancêtres des dieux, qui sont un peu comme les grands-parents qu’on n’invite plus aux fêtes de famille parce qu’ils ont tenté de renverser l’Olympe.
    un assortiment de héros qui ont tous plus de muscles que de sens commun,
  • des créatures mythiques qui semblent sorties d’un brainstorming sous substances illicites : « Et si on faisait un cheval, mais…. avec des ailes ? » ou « Un lion avec une partie chèvre et une queue de dragon« .

Le plus drôle, c’est que ces divinités ultra-puissantes avaient aussi leurs petits drames personnels. Des histoires d’amour compliquées, des jalousies fraternelles, des querelles de famille… La mythologie grecque, c’est tout ce que vous pouvez voir dans une série télévisée moderne. Vous pouvez voir les dieux olympiens comme vos célébrités d’aujourd’hui. Néanmoins, à la place d’Instagram, ils avaient des temples.

Pourquoi la mythologie grecque est-elle fondamentale dans l'histoire de la pensée ?

Dans la mythologie grecque, même le « Big Bang » a de la classe. Vous pouvez voir le Chaos comme un immense pot de peinture cosmique renversé, d’où jaillissent des personnages aussi charismatiques qu’une diva de téléréalité.

D’abord, il y a Gaïa, la Terre-Mère, probablement la première éco-warrior de l’histoire, qui a décidé que planter des arbres et faire des montagnes était son truc. Puis vient Tartare, l’endroit où vous envoyez vos enfants quand ils sont insupportables, mais en version infernale. Ajoutez à cela Érèbos, les ténèbres des Enfers, parfait pour les amateurs de chambres noires et de mystère. Et n’oublions pas Nyx, la Nuit, l’idole de tous ceux qui aiment faire la grasse matinée.

Ces joyeux lurons ont donné naissance à une troupe variée :

  • les Titans, qui sont un peu comme les premiers « influenceurs » de l’Olympe,
  • les Cyclopes, qui prouvent qu’on peut être stylé même avec un seul œil,
  • les Hécatonchires, avec leurs cent bras, précurseurs des multi-taskers modernes.

De leurs aventures, amours et batailles, sont nés les dieux olympiens et, en gros, le monde tel qu’on le connaît. Ces histoires étaient la façon des Grecs de donner du sens à l’univers, un peu comme notre addiction aux séries Netflix, mais avec plus de toges et moins de télécommandes. Une chose est sûre, les anciens avaient de l’imagination à revendre !

Pourquoi la mythologie grecque existe ?

Bien avant Wikipedia, Google, et même votre prof de philo un peu excentrique, il y avait la Mythologie Grecque. Pourquoi ça existe ? Eh bien, pour tout et n’importe quoi à vrai dire !

Comment les mythes anciens servaient de guide pour la vie en société ?

On peut voir la mythologie grecque comme le premier manuel sur « Comment se comporter en société (et les règles à éviter) » écrit par les anciens Grecs. Vous savez, le genre de livre que vous auriez aimé avoir avant de commettre cette gaffe monumentale à une soirée.

Pour la différence entre le bien et le mal, il y avait pas mieux ! C’était leur version de l’éducation morale. Pas de « faites ce que je dis, pas ce que je fais » ici, mais plutôt des histoires du genre « Hé, tu te souviens de ce mec qui a défié les dieux ? Il a fini avec une sale punition. Alors, l’humilité, c’est important, hein ?« 

Et pour ce qui est des leçons de vie, chaque héros avait son propre épisode « Quand les choses tournent mal« . Vous avez un héros super fort, super courageux, mais aussi super arrogant ? Bingo, c’est parti pour une saga où il va apprendre l’humilité à la dure, souvent avec un peu trop de zèle de la part des dieux. C’est un peu comme ces émissions de téléréalité où le personnage trop confiant se fait remettre à sa place. Toutefois, oubliez les votes et les éliminations, dans la mythologie grecque, il y a des monstres et des métamorphoses.

La mythologie grecque était une collection d’histoires pour dire : « Regarde, même ce super-héros a foiré. Alors toi, mortel moyen, fais gaffe ! » C’était à la fois divertissant, éducatif, et un poil effrayant – la recette parfaite pour s’assurer que les gens réfléchissent à deux fois avant de faire des bêtises. En plus, ça donnait une excuse en or pour raconter des histoires époustouflantes autour d’un feu de camp !

Comment la tradition orale a modelé et transformé les mythes à travers les âges ?

Au fil du temps, les gens prenaient ces histoires, les secouaient comme un shaker à cocktails, et hop, une nouvelle version du mythe apparaissait. Chaque ville avait sa propre édition spéciale du récit, avec des bonus et des scènes coupées.

D’une personne à l’autre, l’histoire pouvait changer complètement. « Hercule a combattu un lion » se transformait en « Hercule a fait un duo de rap avec un lion« . Chaque génération ajoutait son grain de sel, en fonction de ce qui était cool ou important à l’époque. Besoin d’inspirer les gens ? Ajoutez un héros qui fait des choses incroyables. Besoin de faire peur à vos enfants pour qu’ils se comportent bien ? Racontez-leur l’histoire d’un dieu qui se fâche vraiment facilement.

Et puis, cette flexibilité dans les récits, c’était le rêve pour les conteurs. Pas content de la fin ? Changez-la. Vous voulez que votre ville ait son propre héros ? Inventez-lui une aventure. C’était une mythologie à la carte, où tout le monde pouvait commander son plat préféré.

La mythologie grecque était donc un mélange délicieux d’espoirs, de rêves et de réalités de l’époque, servi dans un grand bol de « à vous d’interpréter« . Un peu comme les séries d’aujourd’hui, mais sans les spoilers et les débats sur les forums.

La transformation des mythes grecs par la tradition orale, dépeinte de manière vivante et colorée.
Un coach de vie personnel proposant des "trucs de vie" mythologiques pour relever divers défis.

Un coach personnel pour les grandes questions de la vie (et comment éviter les Enfers)

Si la mythologie grecque était un coach de vie, elle serait celle qui vous explique comment gérer la crise de la quarantaine avec un récit sur un dieu qui a vaincu un monstre marin avant le petit-déjeuner. Besoin de conseils pour affronter la mort ? Pas de soucis, voici une histoire sur un héros qui a fait un aller-retour dans les Enfers et en est revenu pour raconter l’histoire. La mythologie grecque, c’est donc un peu le guide ultime pour naviguer dans la vie, avec des astuces pour chaque problème, du plus banal au plus existentiel.

On a tous un grand-oncle qui raconte des anecdotes de guerre, sauf que là, c’est Zeus et sa bande qui affrontent des titans, et non pas des soldats ordinaires. La mythologie grecque, c’était le TED Talk de l’Antiquité, donnant des leçons de vie à travers des aventures épiques. Imaginez le titre : « Comment gérer votre vie en cas d’apocalypse ou si vous croisez un cyclope« , le tout servi avec un zeste de divinité et une pincée de magie.

L'influence antique qui ne veut pas lâcher notre culture moderne !

Si vous pensiez que la mythologie grecque, ce n’était qu’un vieux livre poussiéreux sur une étagère, détrompez-vous ! C’est comme la star des temps anciens qui refuse de prendre sa retraite. De Hollywood à votre start-up du coin, elle a encore la cote. Vous ne pouvez pas regarder un film sans tomber sur un Hercule musclé ou une guerre de Troie remixée. Et ne parlons même pas de la littérature, où elle est la muse de tout, de la poésie aux romans à succès.

Et dans la vie de tous les jours ? Les références grecques sont partout. Vous parlez d’un « talon d’Achille » sans même savoir qui est ce type, ou vous dites « panique » sans vous douter que ça vient de Pan. Vous savez, ce dieu qui adorait effrayer les gens. La mythologie grecque, c’est un peu comme ce cool de la famille, on reprend ses blagues sans même s’en rendre compte.

Que vous soyez en train de binge-watcher une série ou de lancer votre entreprise, n’oubliez pas de dire merci à Zeus et sa bande. Ils sont partout, et on dirait bien qu’ils sont là pour rester !

L'influence durable de la mythologie dans la culture moderne, dépeinte de manière vibrante.

Un petit résumé sur cette première partie ?

La mythologie grecque, c’est la première grande série binge-watchable de l’histoire !

Imaginez un mix entre un héroic-fantasy, un feuilleton type Love Story et un documentaire, mais avec des dieux qui lancent des éclairs, des trahisons cosmiques et des créatures mythiques.

C’est une saga épique où chaque Grec ajoutait son grain de sel, créant une histoire collective. Un peu comme le « téléphone arabe » mais à l’échelle d’une civilisation. Dans cette série antique, on peut voir Hésiode et Homère comme les stars de cette série antique, posant les bases de nos séries et films actuels.

Dans la vie quotidienne des Grecs, la mythologie grecque était omniprésente. Il faut dire que chaque aspect de la vie était sponsorisé par un dieu ou une déesse. Aujourd’hui, c’est une source d’inspiration inépuisable, une empreinte culturelle qui continue d’influencer notre monde moderne, de la littérature aux expressions quotidiennes.

La mythologie grecque, c’était un peu leur Netflix à eux, sauf qu’il n’y avait aucun abonnement et très peu de wokisme. Maintenant que vous savez tout, hésitez pas à vous défouler sur les commentaires !

Chronologie détaillée de la mythologie grecque... pas ennuyeuse

L'ère primordiale : quand l'Univers était en mode "brouillon"

Ah, l’Ère Primordiale de la mythologie grecque, l’époque où l’univers ressemblait à la chambre d’un adolescent : un joyeux chaos. Avant que les Grecs n’inventent le rangement (et la philosophie), le monde était une joyeuse pagaille cosmique. On parle d’un temps où même les dieux n’avaient pas encore leur agenda Google.

Premier au party : le Chaos. Pas le genre de chaos où tu perds tes clés, non, mais plutôt un vide gigantesque, le genre d’espace où l’écho de tes pensées pourrait voyager des siècles sans trouver un coin pour faire demi-tour. Et dans ce grand rien, soudainement, surprise : Gaïa ! La Terre elle-même, surgissant comme une fleur dans un champ de béton. Gaïa, c’est un peu la mère de tous, la première à dire « Tiens, si on créait quelque chose qui ressemble à un plancher ?« .

Puis, voilà Ouranos, le Ciel. Littéralement au-dessus de tout, Ouranos était du genre à regarder Gaïa avec un air de « Je flotte, donc je suis« . Dans la mythologie grecque, ces deux-là avaient une relation compliquée. Disons qu’ils ont créé plus que des souvenirs ensemble, notamment les Titans, qui étaient un peu les rock stars de l’époque. Néanmoins, au lieu de dompter les guitares électriques, ils maniaient des éclairs et des tempêtes.

On peut voir cette période comme la préhistoire de la mythologie grecque. Pas de héros musclés en jupette, pas de voyages épiques en mer, juste un univers qui s’étire, baille et se dit : « Tiens, et si demain, on créait quelque chose de fou comme… des humains ? » Mais ça, c’est une histoire pour une autre époque !

Titanomachie : quand les Titans jouaient au Trône de Fer dans la mythologie grecque

N’ayant pas beaucoup de jeux de société pour se distraire, les Titans ont décidé de se lancer dans un petit jeu de pouvoir.

Plutôt du genre ambitieux, Cronos s’est dit qu’il était temps de renverser son papa. Il faut imaginer une scène digne d’une tragédie grecque, avec un peu moins de budget que Game of Thrones.

Toutefois, Cronos, c’était pas vraiment le type à qui on pouvait faire confiance. Il avait entendu dire qu’un de ses enfants le renverserait à son tour. Alors, il a trouvé une solution très « rationnelle » : avaler ses enfants. Oui, vous avez bien lu. Imaginez le dîner de famille : « Passe-moi le bébé, s’il te plaît. » Mais, heureusement pour l’humanité et la logique en général, il a oublié un petit détail : Zeus. Sauvé et élevé en secret, ce dernier était du genre malin. Il a sauvé le monde et a libéré ses frères et sœurs de l’estomac paternel.

La Titanomachie, c’était donc cette grande bataille entre les Titans et les jeunes Olympiens, dirigés par Zeus. C’était le genre de bataille où tout le monde lance des éclairs, des rochers, et probablement quelques insultes. À la fin, Zeus et ses frères et sœurs prennent le pouvoir, et les Titans sont envoyés en « vacances forcées » dans le Tartare.

Moralité de l’histoire : dans la famille des dieux grecs, il vaut mieux éviter les repas de famille et les jeux de pouvoir.

Zeus et sa start-Up divine dans la mythologie grecque

Après avoir mis fin à la rébellion des Titans, Zeus et sa bande d’Olympiens se sont lancés dans le projet le plus ambitieux de tous les temps : la gestion de l’univers. C’est ainsi que naît Olympus Inc., une start-up divine avec Zeus en PDG tout-puissant (et un peu mégalo, avouons-le).

Avec sa barbe digne d’un influenceur hipster et son foudre toujours chargé, Zeus s’installe sur le trône avec un style flamboyant. Il distribue des rôles à ses frères et sœurs comme s’il distribuait des cartes Pokémon. Poséidon obtient la mer (quelqu’un devait forcément s’occuper des vacances à la plage), et Hadès se retrouve avec les enfers (personne n’a dit que la répartition serait équitable).

Héra, déesse du mariage, devient la première dame d’Olympus Inc., avec un regard qui pourrait congeler n’importe quelle maîtresse de Zeus sur place. Et croyez-moi, il y en avait beaucoup. Zeus n’était pas exactement le modèle de la fidélité. Disons qu’il aimait « explorer ses options« .

Pendant ce temps, Athéna, la déesse de la sagesse, se demandait probablement comment elle avait atterri dans cette famille, entre un père infidèle et un oncle qui parlait aux poissons. Et n’oublions pas Apollon, le dieu du Soleil, de la musique et des concours de « Qui a la plus belle coiffure« .

La vie sur le Mont Olympe, c’était un peu comme une série télévisée où chaque épisode apportait son lot de drames, de romances et de querelles divines. Et pendant que les Olympiens géraient l’univers avec une efficacité discutable, les mortels en bas se grattaient la tête…

En tout cas, une chose est sûre : dans la mythologie grecque, il ne fallait jamais rater la fête de Noël.

L'Ère Héroïque : quand les abonnements à la salle de gym payaient enfin

Bienvenue dans l’ère Héroïque, l’époque où être un héros était plus tendance que poster des selfies sur les réseaux sociaux. C’était l’époque des biceps huilés, des exploits surhumains et des monstres qui ne demandaient qu’à être vaincus (ou à signer des autographes).

Premier sur la liste, Héraclès, l’homme qui a rendu les travaux ménagers épiques. Avec ses douze travaux, il a prouvé que même nettoyer des écuries pouvait devenir une aventure héroïque, à condition d’avoir assez de muscles et un bon agent publicitaire.

Puis il y avait Persée, le type qui a rendu le vol avec des sandales ailées cool bien avant les drones. Il a décapité Méduse, prouvant ainsi que même les plus terribles créatures mythologiques ne sont pas à l’abri d’une bonne vieille astuce héroïque.

N’oublions pas Thésée, le gars qui a prouvé que le sens de l’orientation pouvait littéralement sauver des vies. En déroulant son fil d’Ariane dans le labyrinthe, il a vaincu le Minotaure et donné de l’espoir à tous ceux qui se perdent dans les parkings souterrains.

Et que dire de Jason et sa quête de la Toison d’or ? Vous savez, ce genre de road trip épique avec un navire plein de copains en quête d’une peau de mouton en or. C’est un peu comme chercher une aiguille dans une botte de foin, sauf que l’aiguille est en or et gardée par un dragon.

C’était l’époque où chaque problème pouvait être résolu par un peu de bravoure, beaucoup de muscles, et une propension à se lancer dans des aventures franchement peu probables. C’était le bon vieux temps où, si tu n’avais pas vaincu au moins un monstre avant le petit-déjeuner, tu n’étais pas vraiment dans le coup.

Une image représentant les héros de la mythologie grecque de manière fun et humoristique.

Quand "c'est compliqué" est devenu mythique

La Guerre de Troie, c’est le genre d’épisode rêvé. Déjà, il y a un casting de rêve : des dieux, des héros, et un cheval en bois qui n’était définitivement pas un jouet. Tout commence avec un concours de beauté et une pomme marquée « Pour la plus belle« . De toute façon, la pomme, c’est toujours un problème : Adam & Eve, Blanche Neige, Apple…

Quoi qu’il en soit, Pâris, le prince de Troie, kidnappe Hélène, la reine de Sparte, parce que visiblement, on ne plaisantait pas avec l’amour (ou le kidnapping) à l’époque. Son mari, Ménélas, n’est pas ravi (c’est le moins qu’on puisse dire) et appelle son frère Agamemnon pour lancer une opération de sauvetage internationale.

Au milieu de tout ça, on a Achille, le Chuck Norris de l’Antiquité, sauf qu’il avait un talon assez sensible. Il est l’arme secrète des Grecs, jusqu’à ce qu’il ait une petite dispute sur l’équité du partage du butin de guerre. Il boude dans sa tente, prouvant que même les héros ont leurs moments drama queen.

Côté troyen, Hector, le MVP de Troie, fait de son mieux pour garder la ville en un seul morceau. Il est brave, noble, et a clairement raté le mémo disant que se battre contre Achille n’était pas une bonne idée.

Et puis, le twist final : le Cheval de Troie. Dans un élan de créativité, les Grecs construisent un énorme cheval en bois, le genre de cadeau que vous ne pouvez pas vraiment refuser. Oubliant apparemment qu’en temps de guerre la méfiance est de mise, les Troyens le font entrer dans la ville. Surprise ! Il était plein de soldats grecs.

Le pire retour à la maison de l'Histoire

Vous venez enfin de terminer une guerre qui a duré dix ans, et tout ce que vous voulez, c’est rentrer à la maison et vous écraser sur votre canapé. Mais pour Ulysse (ou Odysseus pour les intimes), le retour à la maison s’est transformé en un épisode de « Pékin Express«  avec des monstres en prime.

Ulysse doit faire face à un cyclope géant qui n’a clairement pas compris le concept de l’hospitalité. Imaginez un Airbnb où votre hôte est un géant borgne qui voit en vous un amuse-gueule plutôt qu’un invité. Pas top pour les commentaires en ligne.

Il rencontre également Circé, une sorcière qui aime transformer les gens en cochons. On peut se demander si c’était juste un passe-temps ou une déclaration artistique. En bon négociateur, Ulysse parvient à éviter que son équipage ne finisse en bacon.

Puis il y a les sirènes… Vous savez, ces divas avec leurs voix envoûtantes. Comme quoi, même avant Spotify, la musique pouvait être dangereusement addictive. Prévoyant, Ulysse se fait attacher au mât de son navire. La première forme de contrôle parental de l’histoire.

Sans oublier le passage entre Charybde et Scylla, deux monstres marins qui font des vagues, littéralement. C’est un peu comme choisir entre être écrasé par un rocher ou un endroit dur.

Après dix ans de galère (et c’est le cas de le dire), Ulysse rentre chez lui à Ithaque. Surprise : sa maison est pleine de prétendants qui veulent épouser sa femme. Ulysse se déguise, gagne un concours de tir à l’arc et reprend le contrôle de sa maison.

Une image représentant de manière fun l'Odyssée d'Homère dans la mythologie grecque.

Quand les dieux de la mythologie grecque ont dû chercher un nouveau job

Il était une fois, dans une galaxie pas si lointaine, une époque où les dieux de la mythologie grecque étaient au top. Mais comme toutes les bonnes séries Netflix, même les meilleures sagas ont une fin. Voici l’histoire du « grand déclin«  de la mythologie grecque, une période de transition professionnelle pour Zeus et sa bande.

D’abord, il y a eu la rencontre avec les dieux romains. Imaginez un dîner d’entreprise où deux équipes fusionnent.

« Salut, je suis Zeus.« 

« Enchanté, moi, c’est Jupiter.« 

« Oh, on fait le même job ?« 

C’était un peu comme si les Avengers rencontraient la Justice League, sauf que tout le monde avait des sandales et des toges.

Pendant ce temps, le christianisme montait en puissance, un peu comme un nouveau réseau social qui devient viral. Avec leur style « old school« , les dieux de la mythologie grecque ont commencé à perdre des followers. Zeus, qui avait l’habitude de lancer des éclairs à tout-va, se retrouvait soudainement à devoir justifier ses actions.

Autrefois des hotspots pour sacrifices et fêtes, les temples de la mythologie grecque se sont transformés en ruines touristiques. Apollon, Dieu du Soleil, a dû envisager une reconversion en consultant en énergie solaire. Dionysos, le dieu du vin, a lancé sa propre marque de vin bio.

Habitué à ses douze travaux, Hercule a envisagé de devenir coach personnel, spécialisé dans les défis extrêmes. Et les Muses ? Elles ont envisagé de créer une plateforme de streaming pour les arts et la culture.

En bref ?

Pour faire simple, la mythologie grecque commence quand Gaïa et Ouranos font des bébés Titans. Et là… C’est le drame. Cronos mange ses gosses, se fait détrôner par son fils, Zeus. Ce dernier devient le PDG de l’Olympe et il distribue les jobs divins comme des bonbons.

Les héros de la mythologie grecque débarquent ensuite :

  • Héraclès le maniaque du ménage musclé ;
  • Persée le pilote de drone antique ;
  • Jason à la ruée vers l’or. 

La Guerre de Troie dans la mythologie grecque, c’est parce qu’une femme (Hélène) s’est fait enlever par un prince troyen qui avait eu les faveurs d’Aphrodite à la suite d’un concours de beauté. On assiste au gros clash avec Achille, le super-héros au pied délicat, et la construction du Cheval de Troie, le pire piège depuis la boîte de Pandore.

Ulysse, lui, nous fait un road trip d’enfer pour rentrer chez lui, entre les Lotophages et les Lestrygons. Il en profite pour conter fleurette avec Calypso pendant que Pénélope tricote

Et à la fin ? Les dieux de la mythologie grecque se recyclent : 

  • Zeus teste LinkedIn ;
  • Poséidon se lance dans les croisières thématiques ;
  • Athéna fait des podcast sur la sagesse ;
  • Héra se lance dans le conseil conjugal ;
  • Arès devient coach en gestion de la colère ;
  • Hermès postule chez FedEx. 

On peut voir la mythologie grecque, comme une série où chaque épisode est un spin-off plus fou que le précédent !

5 commentaires

  1. Anna a dit :

    Franchement, je ne peux que vous dire merci pour le contenu. Vous avez su être pédagogue sans être ennuyeux. Je recommande fortement votre page. Merci pour tout !

    1. Merci pour ce commentaire. C’est du travail et recevoir ce genre de commentaire, ça fait du bien !

  2. Lino a dit :

    xDDDDD. Bon j’avoe pour ma part j’ai lu que les résumés flemme de lire mais j’ai kiffé le passage : Il en profite pour compter fleurette avec Calypso pendant que Pénélope tricote

  3. Pierre a dit :

    Article très intéressant. J’ai survolé mais j’essaierai de lire plus en détail une prochaine fois. Juste une petite question, le terme exact n’est pas plutôt « conter fleurette » ?

    1. Exact, petite erreur de ma part : OoOop’s ! Je change cela de suite ! Merci beaucoup 🙂

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