Quels sont les 12 dieux olympiens et quels sont leurs attributs ?
Chaque dieu olympien joue un rôle unique, influençant croyances et légendes par leurs excentricités et leurs pouvoirs extraordinaires. Ces divinités, de Zeus à Athéna, incarnent des forces de la nature et des aspects de la vie humaine.
Imaginez un monde dans lequel les dieux sont plus capricieux que les célébrités d’Hollywood, où les querelles familiales se règlent avec des éclairs et des tempêtes, et où l’amour divin peut se transformer en tragédie épique. Préparez-vous à un voyage mythique pour découvrir les histoires fascinantes des 12 olympiens et à vous plonger dans l’univers riche en mystère de la mythologie grecque. Alors, êtes-vous prêt à explorer l’Olympe ?
Dieu Olympien
Déesse Olympienne
Quel est le pouvoir et la signification d'un dieu olympien dans la mythologie grecque ?
Ah, la Grèce antique, où les dieux olympiens ne faisaient pas que lancer des éclairs et se pavaner sur le Mont Olympe. Chacun d’eux, un peu comme des super-héros, possédait des pouvoirs et des symboliques tellement uniques qu’ils auraient pu lancer leur propre marque.
Plus que de simples vedettes de l’ancien monde, ces divinités étaient les influenceurs avant l’heure, tissant des croyances et des légendes aussi durables que leurs caprices. Chaque dieu olympien avait sa propre cabine VIP dans le night-club exclusif du panthéon, avec des histoires plus croustillantes les unes que les autres sur la vie, la nature, et les petits tracas humains. Dans les lignes qui suivent, on va plonger tête première dans le bain moussant de l’histoire, les ragots divins et les anecdotes fabuleuses de chaque dieu olympien.
Attachez vos ceintures, le voyage promet d’être mythiquement hilarant !
Zeus, c’est l’olympien le plus populaire. En gros, si les dieux avaient eu une équipe de foot, il aurait forcément été le capitaine.
Fils de Rhéa et de Cronos, il a échappé de justesse à une enfance plutôt courte. En effet, son père avait un péché mignon pour béqueter ses mômes. Cet olympien est donc « l’enfant survivant » (non, pas Harry Potter), celui qui a échappé à la fringale paternelle. Il a grandi en mode ninja pour finalement faire régurgiter à papa ses frères et sœurs.
Frérot de toute une bande – Poséidon, Hadès, Déméter, Hestia, et… surprise, Héra, qui est passée de sœur chérie à épouse (faut croire que les dieux n’ont pas Tinder).
Par la suite, il a mené une rébellion contre son père, avec l’aide des Cyclopes et de ses frangins. Résultat ? Zeus devient le big boss de l’Olympe, avec comme accessoires de mode : le foudre, un chêne, un aigle, un trône et un taureau. Un vrai influenceur de l’Antiquité !
Zeus, c’est le gars des éclairs et du tonnerre, mais côté cœur, c’est un peu le Don Juan du Panthéon. Marié à Héra, cet olympien n’est pas vraiment un modèle de fidélité. Sa liste d’enfants hors mariage est plus longue que les files d’attente aux soldes : Athéna, Apollon, Arès, Artémis, Héraclès, Dionysos, Hermès, Perséphone… On imagine que cet olympien a dû payer une fortune en pension alimentaire !
Hermès, c’est le petit prodige du Panthéon grec. Cet olympien a réellement hérité des bons gènes de son papa Zeus et de sa maman Maia, la fille d’Atlas (qui, entre parenthèses, ne pouvait pas vraiment lui apprendre à faire du vélo, occupé qu’il était à porter le monde sur ses épaules). Dès son plus jeune âge, Hermès montre un talent certain pour l’acquisition d’objets qui ne sont pas à lui. En bref, c’est un cleptomane.
Messager des dieux, on peut le voir comme le livreur express de l’Olympe, avec une petite préférence pour les voyages en classe business : cet olympien protège les voyageurs, mais également les voleurs (afin de garder un pied dans ses anciennes activités), les commerçants et les troupeaux (en souvenir de sa première blague, quand il a piqué les bœufs d’Apollon).
En plus de son job de livreur, cet olympien est aussi le guide des âmes vers les Enfers. Un peu comme un guide touristique pour l’au-delà. Pour couronner le tout, il est l’inventeur des poids et des mesures, parce que même un dieu doit savoir combien pèse son colis.
Côté style, Hermès ne lésine pas :
- un caducée (pour le swag professionnel) ;
- des sandales ailées (puisque marcher, c’est pour les mortels) ;
- un casque (sécurité avant tout) ;
- une bourse d’argent (pour les petits achats imprévus).
Fils de Zeus et de Léto, Apollon est le frère jumeau de la chasseuse Artémis. C’est le genre de bébé qui, après quelques biberons d’ambroisie, a zappé l’étape couche-culotte pour devenir un adulte canon en un claquement de doigts. Pratique pour éviter les photos embarrassantes de l’enfance, moins pour les économies de couches.
Dieu de la lumière, de la musique et de la poésie, cet olypien est un peu la rockstar de l’Olympe. Imaginez un peu : chaque fois qu’il sort sa lyre ou sa flûte, c’est le Woodstock des dieux. Et bien sûr, quel artiste serait complet sans son groupe ? Apollon est toujours entouré de ses 9 muses, prêtes à l’inspirer. Un peu comme un boys band, mais en plus divin et avec moins de cris de fans hystériques.
Côté accessoire, Apollon a tout pour plaire :
- une lyre et une flûte pour les vibes artistiques ;
- des cornes de bovidés pour le look rustique ;
- un laurier pour la touche de verdure ;
- un dauphin, sûrement prêté par Poséidon ;
- le soleil, car il apporte la lumière…
Dire que Poséidon, le frérot de Zeus, est le roi des mers est un euphémisme. C’est le genre de type qui peut soulever une vague géante juste parce qu’il a trouvé ça cool. Avec son trident (cadeau des Cyclopes, parce que même les dieux aiment les gadgets high-tech), cet olympien peut faire la pluie et le beau temps sur l’océan. Un vrai maestro des marées !
Et, parlons de son moyen de transport : un char tiré par des créatures mi-chevaux, mi-dauphins. Pourquoi choisir entre un cheval et un dauphin quand on peut avoir les deux, n’est-ce pas ? C’est un peu comme avoir une voiture amphibie, mais en beaucoup plus classe : sans les problèmes de parking et les désagréments d’essence. C’est beau et c’est BIO !
Poséidon a aussi son propre palais sous-marin : des coraux, des perles, et probablement une tonne de créatures marines qui font office de majordomes. Un vrai palace digne d’un épisode de « Cribs » sous l’eau !
Côté accessoires, ce dieu olympien reste dans la simplicité :
- un trident pour montrer qu’il est le boss, ;
- un attelage marin pour se déplacer avec style.
Sans oublier la mer, parce que, franchement, posséder une partie de l’océan, c’est le summum du swag aquatique.
Selon Hésiode, Héphaïstos est un peu le « fait maison » d’Héra, genre projet DIY divin. Mais pour Homère, c’est le résultat d’une collaboration entre Héra et Zeus. Disons qu’il y a un flou artistique sur ses origines, un peu comme quand vos parents vous racontent différentes versions de votre naissance.
Ensuite, il y a l’histoire de sa boiterie. Zeus aurait décidé de le lancer depuis l’Olympe. Résultat ? Héphaïstos gagne un aller simple vers le sol et une boiterie souvenir. Pas vraiment le genre de cadeau familial qu’on espère recevoir. Mais où était donc les services sociaux ?
Malgré tout, Héphaïstos, c’est le dieu olympien du feu, de la métallurgie et des volcans. Un vrai pro du bricolage ! Il peut littéralement faire une sculpture avec du métal en fusion tout en grillant des chamallows.
Et parlons de son épouse, Aphrodite. Oui, le dieu boiteux a épousé la déesse de la beauté. C’est un peu comme si le nerd de la classe sortait avec la reine du bal. Ça prouve que même avec une béquille et un look d’artisan, on peut avoir du flow.
Pour le reconnaître, c’est facile : cherchez le marteau, la béquille, l’enclume et la masse. En gros, c’est l’olympien avec tout l’équipement de forge, mais qui ne travaille pas dans un atelier de quartier.
Alors qu’Athéna joue aux échecs en matière de guerre, Arès, lui, est plutôt du genre à renverser le plateau de jeu et à crier « Bagarre ! » Il aime la guerre pour… eh bien, la guerre. Un vrai fan de l’action, le genre de dieu olympien qui s’abonne à tous les magazines de muscles et d’explosions.
Et les Romains l’ont tellement adoré qu’ils l’ont rebaptisé Mars. Un peu comme quand un film a un titre différent selon les pays, mais avec plus de lances et de sang.
Dieu de la guerre, des crimes de sang et des armes, Arès est facile à reconnaître. Il a toujours :
- sa lance (pour les brochettes de héros) ;
- son casque (pour assurer sa sécurité) ;
- un chien (pas le genre à chercher des caresses)
- un glaive (parce que plus c’est gros, mieux c’est).
Hadès, le frère de Zeus qui a tiré le court bâtonnet et s’est retrouvé à gérer les Enfers. Contrairement à ce que les films et les légendes racontent, ce dieu olympien n’est pas le méchant de l’histoire. Disons plutôt qu’il est le gestionnaire un peu morose d’un underworld très fréquenté.
Il a épousé Perséphone, et comment dire… leur histoire d’amour n’a pas commencé sur des bases très conventionnelles. Imaginez un rendez-vous arrangé, mais avec un enlèvement et une mère (Déméter) absolument furieuse. Ah, les histoires de famille divines !
Hadès est aussi connu pour son chien à trois têtes, Cerbère, qui est un peu comme le portier le plus intimidant que vous puissiez imaginer pour les Enfers. Pas vraiment le genre de toutou qu’on veut caresser contrairement à ce que pourrait nous dire Hagrid.
Et parlons de sa carrière en tant que juge des âmes. Ce dieu olympien envoie les gentils dans les Champs Elysées (l’équivalent antique d’un resort 5 étoiles). Ceux qui ont été vilains vont dans le Tartare (pensez à la prison d’Azkaban, mais en pire et sans possibilité de visite).
Côté look, Hadès est équipé pour son job :
- un casque en peau de chien, pas super fashion, mais ça fait le taff ;
- un sceptre pour l’autorité ;
- une corne d’abondance parce qu’il faut bien manger, même en Enfers ;
- un cyprès pour la touche végétale.
Qui sont les divas de l'Olympe ?
Prêt pour une virée décoiffante dans le monde de la Grèce antique ? Vous savez ce temps où les déesses olympiennes ne se contentaient pas de flotter sur des nuages en robes flottantes. Bien plus que de simples figurantes, ces divas étaient les vraies patronnes, influençant tout, depuis la mode jusqu’aux fêtes religieuses. Chacune d’entre elles pourrait donner des leçons aux stars d’Instagram sur la meilleure façon de briller. Préparez-vous à plonger dans les coulisses de la vie, les secrets bien gardés et les super-pouvoirs de chaque déesse. On va décortiquer leurs histoires comme jamais, révélant tout ce qui rend ces dames immortelles si irrésistiblement fascinantes et parfois même un peu dramatique. Alors, en avant pour un tour de l’Olympe version glamour.
Sortie tout droit de l’estomac de papa Cronos, grâce à son frère Zeus, Héra se lance dans une carrière florissante de déesse du mariage et de la vie de famille. Ironique, quand on sait que son propre mariage avec Zeus ressemble plus à un épisode de « Fidélités et trahisons« qu’à un conte de fées.
Madame Zeus est célèbre pour sa réaction plutôt… explosive aux infidélités de son cher et tendre. Elle ne se contente pas de lancer des assiettes, non non. Héra va directement s’en prendre aux maîtresses de Zeus et à leurs petits bâtards. Faut pas la chercher, la dame !
Côté look, Héra est souvent représentée comme l’épouse parfaite, mais avec une touche de « je vais te faire regretter ta naissance » dans le regard. Ses accessoires fétiches ? Un paon (pour la classe), un sceptre (pour l’autorité), une couronne (ben oui, elle est reine), et une génisse (parce qu’à l’époque, c’était super tendance). Bref, Héra, c’est un peu la diva de l’Olympe, mais gare au mode vengeresse de cette première dame de l’Olympe.
Aphrodite, la déesse du love et de la séduction, a une origine digne d’un épisode de série B : elle est née d’un morceau d’Ouranos (le ciel, pas la planète) qui a été, disons… « réajusté » par son fils Cronos. Imaginez la scène : un bout de divinité tombe dans la mer près de Chypre, et bam ! Une écume blanche (appelée « aphros » en grec, pour ceux qui veulent briller en société) et voilà Aphrodite, prête pour Miss Univers. En gros ça a spermé dans la mer !
Élevée par les Heures, les déesses des saisons (genre la crèche, mais sans Jésus et les rois mages), elle devient la diva de l’amour, du plaisir, et de tout ce qui est fun et fertile. Mariée à Héphaïstos, le dieu un peu moins glam du feu et de la forge, elle a tout un arsenal d’accessoires pour pimenter son look :
- un coquillage (à la Botticelli, très chic) ;
- un miroir (pour les selfies divins) ;
- une rose (parce que c’est romantique) ;
- une pomme (tendance Eden) ;
- du myrte (pour la touche green).
Et, pour les animaux de compagnie ? Aphrodite choisit la colombe, le lièvre, le cygne et la tourterelle. Un casting d’animaux plus doux que celui de « Bambi« .
Athéna, la déesse avec une entrée en scène digne d’un blockbuster hollywoodien ! Fille de Zeus et de Métis, sa naissance est pour le moins… explosive.
Voyez-vous, Zeus, qui n’est pas le dernier pour les décisions parentales douteuses, a gobé Métis alors qu’elle était enceinte. Pourquoi ? Parce qu’un jour, une personne lui a dit : « Ta fille va te détrôner !« . Ça sent la répétition avec son père : les Grecs n’avaient pas beaucoup d’imagination. Quoi qu’il en soit, Zeus a pensé que la meilleure solution, c’était de transformer sa femme en en-cas.
Mais voilà, avaler une déesse enceinte, c’est pas top pour la digestion. Zeus se tape un mal de tête carabiné. Heureusement, Héphaïstos est là avec la solution : un coup de hache dans le crâne de papa ! Et qui en sort ? Athéna, en armure, poussant un cri de guerre, prête à conquérir le monde. Pas réellement le genre de naissance qu’on imagine quand on pense à des cigognes et à des berceaux.
Mais Athéna, c’est pas juste la guerrière qui sort d’un crâne. Elle est à la guerre ce que les échecs sont au Monopoly : tout en stratégie, contrairement à son frère Arès qui est plus du genre « bourrin » sans réfléchir. Elle est aussi la déesse multitâche : arts, sagesse, science, artisanat… Vous avez un problème ? Athéna a probablement une app pour ça.
Protectrice d’Athènes (qui a clairement gagné au loto des noms de villes), on la reconnaît à ses accessoires : épée, lance, bouclier avec une tête de Gorgone (pour le côté fashion et terrifiant) et une chouette.
Artémis, la sœur jumelle d’Apollon, est un peu la reine de la chasteté dans le Panthéon grec. Elle a regardé l’amour et les hommes, puis s’est dit qu’elle préférait les forêts et les animaux. C’est la déesse qui a inventé l’art d’être seule.
Protectrice de la chasse et de la nature sauvage, Artémis, c’est un peu la première écologiste de l’histoire, mais avec un arc et des flèches. C’est aussi la patronne de la lune, ce qui fait d’elle la divinité idéale pour les soirées d’observation des étoiles.
Elle ne sort jamais sans son kit de chasseuse : un arc, un carquois et un croissant de lune, parce qu’il faut bien assortir ses bijoux à son job. Et pour la compagnie ? Une biche ou un ours, parce que, soyons honnêtes, qui a besoin d’hommes quand on a des animaux aussi cool ?
Hestia, c’est la grande sœur de Zeus. On peut la voir comme la pacifiste de la famille olympienne. Alors que les autres dieux olympiens se lancent dans des batailles épiques et des querelles divines, Hestia est celle qui préfère rester à la maison et tricoter devant un bon feu.
Quand il s’agit de romance, Hestia a fait tourner la tête de deux beaux partis, Apollon et Poséidon, mais elle a choisi de rester célibataire. Elle a probablement vu tous les ennuis que ses frères et sœurs se sont attirés avec leurs aventures amoureuses.
En tant que déesse du foyer, de la maison et du feu domestique, c’est un peu la Martha Stewart de l’Olympe, mais sans les émissions de télé. Toujours prête avec son amphore (pour le vin ou l’huile d’olive, selon les besoins), un foyer (pour les soirées cocooning) et un feu (parce qu’une déesse du foyer sans feu, c’est comme un chef sans couteau).
Bref, Hestia, c’est la déesse qui prouve qu’on peut être puissant et influent sans jamais quitter le confort de son salon. Une véritable icône pour tous ceux qui aiment le calme, la tranquillité et un bon feu de cheminée. Une déesse qui sert à rien quoi !