Comment l’enlèvement d’Hélène a-t-il influencé les événements menant à la guerre de Troie dans la mythologie grecque ?

Le monde antique, c’est un peu le premier « Miss Univers » avec Hélène de Sparte en récompense. Fille de Zeus, la crème de la crème de la beauté mortelle. L’enlèvement d’Hélène est l’un des récits les plus connus de la mythologie gréco latine. Pâris, lui, c’est le berger qui se retrouve jury dans un concours divin de beauté. Sa mission, si toutefois, il l’accepte : choisir la plus canon entre trois déesses : Aphrodite, Athéna et Héra.

Aphrodite joue la carte du charme et du chantage affectif en lui promettant de lui filer le numéro de la plus belle femme du monde. Bingo ! Pâris tombe dans le panneau. Le résultat ? Un Golden Globe pour Aphrodite et un date avec Hélène pour Pâris. Mais voilà, ce Tinder divin tourne mal. La pomme de la discorde, lancée par la déesse du même nom, transforme ce match de beauté en déclencheur de la guerre de Troie. L’enlèvement d’Hélène, c’est la cerise sur le gâteau d’un drame mythologique où même les dieux swipent à gauche et à droite.

Quelles sont les conséquences de l’enlèvement d’Hélène de Sparte par Pâris sur la guerre de Troie ?

Hélène de Sparte, c’est un peu la Kim Kardashian de l’Antiquité : une vraie bombe que tous les princes grecs voulaient dans leur Insta… euh, leur royaume. Quand vient l’heure de choisir un mari, son père, Tyndare, joue la sécurité. Il organise un pacte de « Tous pour un, un pour tous« , à la manière d’un contrat pré-nuptial, mais avec des épées et des boucliers. Chaque prétendant doit jurer de défendre le chanceux élu par Hélène contre tout homme qui tenterait de lui piquer sa belle. Pas de Tinder, mais des serments épiques !

Et voilà Pâris, le play-boy troyen, qui débarque avec un plan machiavélique. Déjà marié à une nymphe, mais prêt à tout pour un selfie avec la beauté légendaire d’Hélène, il concocte l’enlèvement d’Hélène. Un scénario digne d’une série Netflix. Avec un prétexte bidon, il se fait inviter à Sparte où Ménélas, le mari d’Hélène, ne se doute de rien et lui déroule le tapis rouge.

Pendant que Ménélas part pour la Crète assister à des funérailles, il confie sa maison et sa femme à Pâris. À cet instant, il est loin de se douter que Pâris avait déjà prévu de prendre soin d’Hélène. Néanmoins, il ne l’a pas fait de la façon dont Ménélas l’imaginait. Ce dernier était loin d’imaginer qu’il voulait devenir l’amant d’Hélène de Sparte. Comme si Pâris n’avait pas assez de troyennes à sa disposition. Ce texte homérique est l’épisode pilote de « L’enlèvement d’Hélène« , où les décisions de quelques-uns lancent une saga épique qui va secouer toute la Grèce antique. Spoiler : ça ne finit pas bien pour Troie.

Comment l’intervention divine d’Aphrodite a-t-elle influencé la décision d’Hélène de Sparte dans son enlèvement par Pâris ?

L’enlèvement d’Hélène, c’est un peu la première télénovela de l’histoire, avec un triangle amoureux, des dieux fourbes, et une héroïne indécise. Hélène de Sparte, l’incarnation de la beauté, se retrouve sous le charme de Pâris, un mortel Troyen. Toutefois, elle est en droit de se demander si ce n’est pas un effet spécial d’Aphrodite.

Pâris, lui, est totalement sous le charme. Imaginez un peu : il est à Sparte, face à Hélène, la Miss Univers de l’Antiquité, et il lui fait sa déclaration, version poème épique. Hélène hésite à se faire enlever. Un choix compliqué, surtout quand les versions de la légende varient entre un enlèvement musclé et une escapade romantique.

Dans une version, Aphrodite, la Cupidon 2.0, se la joue réalisatrice et donne à Pâris le physique de Ménélas pour piéger Hélène de Sparte. Dans une autre, elle part avec Pâris, genre road trip antique, la tête posée sur l’épaule de son ravisseur. On a l’impression de se croire dans un clip de Taylor Swift.

Et pour pimenter le tout, certains disent que c’est Tyndare, le père d’Hélène, qui, en mode matchmaker, a donné sa bénédiction au couple pendant que Ménélas, le souverain de Sparte, était en Crète. Mais bon, on connaît Aphrodite et ses tours. Elle aurait pu envoyer son fils Éros pour jouer les entremetteurs et sceller le deal de l’enlèvement d’Hélène. Hollywood n’a rien inventé !

Quel impact l’enlèvement d’Hélène a-t-il eu sur le début de la guerre de Troie ?

Hélène de Sparte et Pâris le troyen, le couple le plus hot de l’Antiquité, mettent les voiles pour Troie, façon croisière en Méditerranée, avec un accueil VIP par le roi Priam et la reine Hécube. Ces derniers ne se lassent pas de « liker » la beauté d’Hélène. Mais leur voyage est un peu comme une saison de Pékin Express, avec différentes versions selon les scénaristes.

D’un côté, on a une traversée tranquille, genre croisière 5 étoiles. De l’autre, l’épouse de Zeus, Héra, la déesse rancunière, joue les perturbatrices météo et déclenche des tempêtes. Résultat : escales imprévues en Phénicie, à Chypre, et même en Egypte. Un petit tour du monde antique, quoi ! Très sympa comme voyage de noce.

Et là, Stésichore et Euripide, les Steven Spielberg de l’époque, lancent le twist : « Ce n’était pas la vraie Hélène, mais son hologramme ! » Pendant ce temps, la vraie est chez le roi Protée en Égypte, un genre de programme de protection des témoins. Un des premiers de l’histoire, en définitive.

De retour de Crète, Ménélas découvre que sa belle Hélène a pris la poudre d’escampette. L’enlèvement d’Hélène ne passe pas bien, mais le roi de Sparte donne une chance aux Troyens. Néanmoins, ces derniers refusent de rendre Hélène, alors Ménélas, en fureur, active son réseau de princes grecs pour un sauvetage épique spécial Achéen d’élite. Bons joueurs, les rois grecs viennent prêter main-forte, et Agamemnon, en mode général des armées, donne le top départ pour la guerre de Troie. Au menu : dix ans de siège, des héros grecs qui tombent comme des mouches et une Troie qui finit en barbecue. Quelle épopée ! Tout ça pour une histoire d’amour et un double virtuel ! Qui a besoin de Netflix avec une mythologie pareille ?