Spiritualité

Troisième accord toltèque : ne supposez jamais dans le film de votre vie

Supposer, deviner les pensées de l'autre, croire qu'on sait ce qu'on ne voit pas. La question de l'omniscience dans le troisième accord toltèque.

Combien de temps on passe à réaliser des films sur nos vies ? Combien de réalisateurs ? Dans ce long-métrage de plus de 640 000 heures en moyenne- sauf pour certains qui, malheureusement, font des courts-métrages – nous incarnons le premier rôle. Eh oui, dans ce long-métrage, nous sommes les stars ! Mais qu’est ce que cela vaut selon le troisième accord toltèque ?

Pourquoi avons-nous cette tendance à imaginer les pensées des autres ?

Nous vivons tellement de choses. Toutefois, tout ce que nous pouvons voir, c’est ce que nous vivons en tant que personne. Mais, parfois, nous voulons savoir ce qui se passe dans la tête des autres, un peu comme si nous pouvions lire leurs pensées. Qui n’a jamais rêvé d’être omniscient ? Je suis sûr que ça vous est déjà arrivé ! Et vous savez quoi ? C’est humain.

Nous sommes curieux. Nous aimons savoir pourquoi certaines choses arrivent. Quand tout est super, nous sommes contents. Mais quand ça ne va pas, là, nous commençons à nous poser des questions. Se questionner, c’est normal. Cela nous aide à apprendre et à grandir.

Mais nous avons une drôle d’habitude. Nous imaginons ce que les autres pensent. Nous ne leur demandons pas directement. Non, nous nous faisons des films. Nous pensons : « Pourquoi il ne m’a pas téléphoné ?« , « Pourquoi, elle a l’air si triste ?« , « Est-ce qu’il pense souvent à moi ?« , ou « Pourquoi, elle m’ignore ?« .

La communication authentique face aux illusions

Pourtant, supposer n’est pas savoir. Si nous voulons vraiment comprendre les autres, le plus simple, c’est de leur parler. Oui, il suffit de demander pour connaître la vérité. Mais il y a quelque chose qui nous en empêche souvent : c’est la peur. Nous avons peur des réponses. Alors, nous préférons imaginer à la place. Et puis, il faut l’avouer, nous avons tendance à nous bercer d’illusions. Ainsi, on ne respecte pas le troisième accord toltèque.

Si cela vous arrive, cela n’est pas une tare. Ça arrive à tellement de personnes, et je vous comprends totalement. Parfois, rêver de ce qui est arrivé, c’est assez confortable. C’est difficile de ne jamais supposer comme le stipule ce troisième accord toltèque. Toutefois, nous devons nous rappeler quelque chose d’important. La communication est la clé. Elle ouvre les portes de la vérité. Elle stoppe les mauvaises pensées. Elle fait disparaître les doutes. Donc, même si c’est difficile, parlez. C’est comme ça que vous saurez vraiment ce qui se passe. Et croyez-en mon expérience, votre « film » n’en sera que meilleur. Et vous serez un as avec ce troisième accord toltèque.

Pourquoi la communication est-elle la clé de voûte pour le troisieme accord tolteque ?

Pourquoi le troisième accord toltèque incite-t-il à la communication ?

Avec l’avènement d’Internet, tout semble à portée de main. On peut facilement cliquer et avoir des informations sur presque n’importe quoi. Et parfois, on pense que ça marche aussi pour les gens. On voit une photo ou un message, et tout à coup, on croit savoir ce que la personne ressent ou pense. On se pose des questions comme : « Pourquoi il a posté cette photo ? » ou « Qu’est-ce qu’elle voulait dire par ce message ?« . Sans vraiment le vouloir, on se fait une idée de la situation.

C’est étonnant, car on a tant de façons de discuter. Il y a des messages, des appels, des vidéos. Mais malgré tout, on ne prend pas toujours le temps de vraiment parler. Plutôt que d’envoyer un message et de demander « Comment ça va ?« , on fait des suppositions.

Et si vous y réfléchissez, même vous, vous ne comprenez pas toujours pourquoi vous faites certaines choses. Alors, comment pourrions-nous vraiment savoir ce qui se passe dans la tête des autres ? La solution est simple : plutôt que d’essayer de deviner, il faut prendre le temps de discuter. Il faut écouter ce que les autres ont à dire, sans jugement. Après tout, la communication est la clé pour mieux comprendre le monde autour de nous.

Apprendre à mieux communiquer pour ne pas supposer et respecter le troisième accord toltèque

Vivre sans suppositions : l’essence du troisième accord toltèque

Supposer, c’est un peu comme jouer aux devinettes. On pense à quelque chose, mais on n’en est pas sûr. C’est juste une idée, pas la réalité. Et pourtant, on le fait tous les jours. Moi, vous, tout le monde ! On imagine ce que les autres pensent ou ressentent. C’est pour cette raison que ce troisième accord toltèque est aussi important.

Imaginez que votre vie est comme un grand film. Du moment où vous êtes né jusqu’à votre dernier jour, la caméra tourne. Vous êtes la star de ce film. Il y a des moments drôles, des moments tristes, et des moments où on ne sait pas vraiment ce qui se passe. Car, bien sûr, il y a des choses qu’on ne voit pas. Et c’est là qu’on commence à supposer.

Mais deviner ce qui se passe, est-ce vraiment utile ? Si on ne voit pas une scène, pourquoi essayer de deviner ce qui s’y passe ? Au lieu de ça, pourquoi ne pas parler aux autres acteurs ? Demander ce qui s’est passé ?

Supposer, c’est un peu comme se mettre des barrières. On se limite, on s’inquiète, on se fait des films. Alors, au lieu de supposer, parlez. Et si vous ne pouvez pas parler, attendez. La vérité finit toujours par arriver, même si elle prend son temps. Et pendant ce temps, profitez de votre film, sans essayer de deviner ce qui se passe en coulisse. Après tout, le plus important, c’est de vivre votre histoire, et de la vivre bien. C’est ça respecter le troisième accord toltèque.

Vivre le film de sa vie de la meilleure des façons sans se soucier de ce qui se passe en coulisse. C'est ça l'importance du troisieme accord tolteque.

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